NEWS ET PEOPLEPeople

Recherché par la police Nigériane pour tentative de meurtre, Burna Boy réagit dans un tweet

L'artiste Nigérian Burna Boy, accusé de tentative d'homicide lors d'une fusillade dans une boîte de nuit, brise enfin le silence sur son compte Twitter.

La presse nigériane est violemment indexée par l’artiste à succès Burna Boy. En effet, très préoccupée par le scandale et les coups de feu générés dans une boîte de nuit par l’artiste international, Burna Boy, la presse nigériane s’est chargé de disséminer l’information, rabaissant le chanteur d’Afrobeat, au même titre qu’un sombre gangster.

Pour cette agression qui a fait deux blessés graves par balle, Burna Boy a à sa charge toute la police nigériane atrabilaire. Très mécontent de cette situation qui entache sérieusement sa réputation, Burna Boy brise enfin le silence et s’en prend aux médias nigérians dans un tweet

Les médias sociaux nigérians peuvent dire que Burna Boy a commencé Boko haram, ça ne me choque pas

a-t-il argué.

Lire aussi 

Burna Boy impliqué dans une fusillade

Le motif…

Selon les propos des médias nigérians, l’origine d’un tel débâcle dans lequel serait impliqué Burna Boy et ses gardes du corps aurait pour motif une dame.

En effet, selon les dires de ces médias, Burna Boy souhaitait à tout prix s’attirer les faveurs d’une dame déjà en galante compagnie.

Son homme s’y opposa et ce fut l’insistance voire la persistance de Burna Boy dans son entreprise de faire asseoir à sa table déjà garnie de deux femmes, cette troisième, qui a fait couler le sang dans cette boîte de nuit. Ce drame a pour bilan provisoire : deux blessés par balle.

L’un blessé à la tête et l’autre à la cuisse par des coups de feu provenant armes des membres de la garde rapprochée de la star musicale, Burna Boy.

Après cet incident, l’artiste a clandestinement quitté le Nigéria pour l’Espagne, sous prétexte d’y avoir un  évènement à honorer. Quant à son manager, il est injoignable depuis l’incident survenu dans cette boîte de nuit.

Burna Boy peut se considérer aux yeux de la police nigériane comme un exilé, et un  meurtrier. Ces adjectifs péjoratifs, lui colleront à la peau tant qu’il ne rentrera pas dans au Nigéria pour donner sa version des faits et redorer son blason…

Lire aussi 

Tiwa Savage : «J’en ai fini avec les hommes…»

- Publicité -
Afficher plus
Bouton retour en haut de la page
error: Content is protected !!