Trois mois après le coups d’Etat, le Gabon éponge plus de 10 milliards de dette

La récente visite du Chef de l’État gabonais, le président de la transition, en l’occurrence, Brice Clotaire Oligui Nguema en Arabie Saoudite a mis en lumière la principale information à retenir du Sommet Saoudo-Africain.

Lors de son discours, le numéro 1 gabonais a présenté la dette publique du Gabon envers ses bailleurs de fonds internationaux, soulignant les efforts déployés pour redorer l’image du pays et lever les sanctions économiques contre le pays.

Sous l’ancien régime, le Gabon avait du mal à respecter ses engagements internationaux, mais en seulement trois mois, les nouvelles autorités du CTRI ont entrepris de rétablir la réputation du pays.

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L’accent a été mis sur l’apurement de la dette publique pour se défaire des sanctions internationales suite au « coup de libération » du 30 août dernier, comme l’a rappelé le Chef de l’État, Brice Clotaire Oligui Nguema, affirmant que « le Gabon respectera ses engagements internationaux ».

En témoignage concret, le pays a réussi à rembourser ses dettes envers plusieurs bailleurs internationaux, dont la Banque Mondiale, le Fonds Monétaire International (en respectant les échéanciers), la Banque Africaine de Développement, l’Agence Française de Développement (créances) et la Banque Islamique de Développement.

Bien que les montants exacts de ces dettes n’aient pas encore été divulgués, cette réussite est considérée comme un véritable exploit, d’autant plus que le Gabon, avec une dette estimée à 7500 milliards de FCFA, s’engage également sur la voie de la reconstruction, prenant en compte les attentes nombreuses de la population gabonaise.

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