Vinicius Junior s’attire le courroux de l’Espagne pour ce geste (Vidéo)
Vinicius Junior après avoir joué les victimes en conférence de presse, pose des vilains gestes durant la rencontre Brésil-Espagne.
La rencontre tant attendue entre le Brésil et l’Espagne achevée par un trois buts partout (3-3) a laissé des traces, notamment pour la star brésilienne Vinícius Júnior. Alors que les deux équipes ont livré un spectacle palpitant sur la pelouse du Santiago-Bernabéu, Vinicius Junior a été au cœur de plusieurs moments agités, marqués par des sauts d’humeur et des échauffourées.
Habituellement considéré comme un leader de la Seleção, Vinícius Júnior n’a pas été à la hauteur lors de ce match. Malgré son talent indéniable, il n’a ni marqué de but ni délivré de passe décisive, attirant ainsi les critiques de la presse espagnole qui n’a pas manqué de souligner sa timidité durant cette rencontre.
Pourtant, juste avant le match, lors d’une conférence de presse émouvante, l’attaquant brésilien avait partagé ses difficultés à jouer au football en raison des insultes racistes et des mots violents proférés par certains supporters dans les stades espagnols contre sa personne.
Des déclarations poignantes qui ont ému bon nombre de spectateurs et de supporters, mais qui n’ont pas empêché les tensions sur le terrain.
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Un personnage ambivalent…
Cette dualité entre les déclarations touchantes de Vinícius Júnior en dehors du terrain et son comportement contestable lors du match soulève des interrogations quant à la gestion de ses émotions et de son engagement sur le terrain. Son désir de se concentrer uniquement sur le jeu semble en contradiction avec ses actions sur le terrain et particulièrement durant cette rencontre où il a sorti un très vilain geste comme le montre la vidéo suivante.
La vidéo
L’Espagne, de son côté, n’a pas manqué de réagir à cette situation, notamment par le biais du joueur espagnol Laporte, qui a ironisé sur l’attitude de Vinícius Júnior en évoquant son désir de simplement
jouer au football.
Un contraste saisissant entre l’image de joueur modèle auquel il aspire et la réalité observée sur le terrain. Quel paradoxe !
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