La liste n’a de cesse de se rallonger. Après Facebook, Twitter, Instagram et YouTube, ainsi que l’encyclopédie participative Wikipédia, Yahoo fait ses valises de la Chine.
Le moteur de recherche a souligné que ses services « ne seront plus accessibles depuis la Chine continentale » à compter de ce 01 novembre.
De fait, les restrictions chinoises vis-à-vis des entreprises technologiques imposent au nom de la « stabilité », la suppression et le blocage de certains sujets jugés indésirables par l’exécutif.
Echaudés par ces tours de vis , les géants de la tech débarrassent le plancher . Dans le sillage de ces départs en cascade , Yahoo a rebroussé chemins de l’étau chinois .
Pour pallier ces départs , des entreprises locales à l’instar de Weibo, Baidu ou encore Alibaba ont le vent en poupe et occupent tant bien que mal les places laissées vacantes par ces mastodontes de la technologie .