L’Afrique ne badine pas avec certaines valeurs encrées dans sa tradition pudique. Jonathan Morrison a joué le coup et cela semble lui réussir en introduisant le CAM Kiss. Une innovation importée depuis le pays de l’Oncle Sam, qui consiste à embrasser ou au pire des cas, à faire une accolade à son voisin (généralement homme et femme) une fois que vous apparaissez sur l’écran géant.
Cette innovation qui ne semblait pas coller aux mœurs timides des africains et particulièrement des ivoiriens a plutôt été bien reçue par le public. Interrogé sur son horizon d’attente par rapport au CAM Kiss, Jonathan Morrison voulait jouer sur du velours. Il a affirmé :
On est en Afrique après tout. C’était d’essayer pour voir. Si les gens disaient « Oh non on veut pas ça » on allait arrêter. Les gens ont aimé donc on a continué.
a-t-il fait savoir avant de trancher
Nous on écoute le peuple.
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Promoteur de talents…
C’est un Jonathan Morrison dans la peau d’un homme humble et effacé qui a été perçu au WAM ( Willy à Midi). Il a fait profil bas pour présenter ses proches collaborateurs qu’il nomme affectueusement les talents du CAM Tchin-tchin.
Ces talents comprenaient entre autres ses infographes, ses photographes, ses journalistes et reporters, son commentateur de match ainsi que le gérant de la page Facebook du CAM TCHIN-TCHIN.
Ces derniers ont passé un bon moment en compagnie de Willy Dumbo, l’animateur du WAM (Willy à Midi)
Pour information, Jonathan Morrison a affirmé avoir mûri l’idée de créer sa propre marque pour confectionner des »lêkês », chaussures adaptées aux matchs de maracana.
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